Par définition, un portail automatique a besoin d’électricité pour fonctionner et avant même de choisir le système de motorisation, il est indispensable lors de la conception de votre projet, d’anticiper le passage des fourreaux électriques ou, si vous utilisez des panneaux solaires pour rechercher les batteries, de bien positionner vers le sud l’emplacement de ces panneaux.
Avec ces vérifications s’ajoute aussi, si vous choisissez un portail coulissant, la création d’un solin en béton parfaitement droit pour que le portail coulisse sans effort.
Il existe deux modes de motorisation :
Discrète et compacte, assez lente, mais avec du couple, la motorisation à vérin est surtout utilisée en cas d’espace réduit ou lorsque le portail est exposé au vent. Elle s’adapte plus particulièrement aux portails lourds et demande des fixations renforcées sur les piliers.
Plus imposante et plus rapide, la motorisation à bras articulés préserve le portail en respectant la course des vantaux. Ce type de motorisation sollicite moins les fixations et s’adapte à tous les portails, même légers.
Dans les deux cas, l’ouverture est commandée à distance via un boîtier de télécommande.
Un système de débrayage permet d’ouvrir / fermer le portail même en cas de coupure d’électricité. Une cellule bloque l’ouverture / la fermeture du portail en cas d’obstacle sur le passage.
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